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Gourmandises de Printemps, partie I

Voici ma première fiction, j'en profite pour te dire que les messages en gris avec cette police sont mes commentaires personnels hors histoire, tu en verras quelques fois... Bon allez, je te laisse profiter de ta lecture de cette première partie de ma première histoire! Des petits bisous :-*

 

C'était un vendredi du début du Printemps, le ciel était bien bleu et le soleil brillait.Susanne était en congé et avait donc profité pour faire une ballade dehors. Son but était d'aller prendre le train pour aller vers un endroit un peu plus éloigné de la ville où elle pourrait se détendre en toute tranquillité. Des fois cela faisait du bien de se vider l'esprit loins des nombreuses pollutions de la ville.

 

Elle avait pris un sac avec une grande serviette de plage, un bouquin et son porte-feuille. Mais en arrivant près de la gare, elle se dit qu'elle prendrait bien quelque chose à manger, et aussi à boire. Elle alla donc vers une pâtisserie qu'elle connaîssait afin d'acheter son pique nique.

 

En y entrant, son attention ne fût pas attirée par les nombreux gâteaux, mais plutôt par une jeune femme brune qui était en train de payer ses achats. Elle n'était pas très grande, mais sa posture élégante, sa robe fluide et colorée et ses longs cheveux qui tombaient sur son dos ne manquaient pas d'imposer sa présence.

 

- Madame, vous avez choisi? - Demanda le type derrière le comptoir, arranchant Suzanne à ses rêveries.

 

- Euh, je vais prendre deux muffins au citron et une bouteille de votre jus de fruits maison s'il vous plaît.

 

Quand elle se retourna, la belle inconnue n'était plus là.

 

Une vingtaine de minutes plus tard, elle était installée dans le train qui venait de démarrer pour une demi-heure de trajet. Elle sortit son livre de son sac pour que le temps passe plus vite. Alors qu'elle n'était qu'à la première page, quelqu'un lui demanda:

 

- Bonjour, je peux m'asseoir à côté de vous? Il n'y a plus beaucoup de places libres.

 

Il fallut quelques instants à Suzanne avant de laisser échapper un petit "oui, bien sûr". Le personne qui venait de s'adresser à elle, était la femme de la pâtisserie et elle était encore plus canon que dans ses souvenirs.

 

- Merci, lui-dit-elle avec le sourire, je descends dans deux arrêts, mais je n'ai pas très envie de rester debout. Oh! j'adore ce livre!

 

Suzanne lui sourit en retour et lui dit:

 

- C'est avec plaisir, je ne suis pas contre un peu de compagnie. Pour ce qui est du livre, je viens à peine de le commencer, j'adore lire, mais je manque de temps dernièrement. Aujourd'hui avec ce beau temps, je me suis dit que j'allais en profiter pour le dévorer dans un parc tranquille.

 

- Une très bonne idée, je pense que vous allez aimer. Mais vous voudrez peut être vous poser à l'abris des regards... Dès la page 30 l'histoire devient tellement intense que c'est difficile de résister.

 

- De résister? Résister à quoi?

 

En s'approchant un peu plus de Suzanne, la jeune brune chuchota:

 

- A l'envie de se faire quelques caresses plus intimes...

 

Les deux femmes échangèrent un regard complice et explosèrent de rire toutes les deux.

 

- En fait, je m'appelle Gaia.

 

-Enchantée, moi c'est Suzanne. Vous n'auriez pas un parc à me conseiller? Le seul que je connais dans la région est magnifique, mais souvent bondé.

 

Le train commença à ralentir et une voix annonça la prochaine station. Gaia prit son sac et se redressa en disant:

 

-C'est mon arrêt.

 

Puis elle prit la main de Suzanne et ajouta avec enthousiasme:

 

- Venez avec moi Suzanne, j'ai l'endroit parfait pour une après-midi de printemps!

 

Sans réfléchir, Suzanne se leva avec ses affaires et suivi l'autre femme hors du train. Elle était perplexe avec ce qui venait de se passer, avec sa propre attitude, mais au même temps, elle se sentait heureuse d'avoir agi de manière si impulsive. Elle regarda autour d'elle, elle ne connaissait pas cet endroit mais n'eût pas à poser de questions.Gaia s'empressa de lui dire:

 

- Vous verrez, ce petit village est charmant! Il y a un petit parc un peu plus loin, mais je pensais pluôt à vous proposer le verger du manoir qu'on voit tout là-haut, elle pointa vers une énorme bâtisse qui se trouvait à flanc de colline droit devant, c'est à un ami à moi.

 

- C'est très gentil à vous Gaia, mais je ne peux pas accepter.

 

- Bien sûr que si, lui dit Gaia, vous ne regretterez pas.

 

 

Quelques minutes plus tard, elles descendaient toutes deux du taxi, juste devant l'immense portail ouvert du manoir. Suzanne n'était pas très à l'aise à l'idée de s'incruster chez quelqu'un. Mais Gaia avait un sourire radieux et le regard pétillant ce qui la rassurait. Sans rien dire, Gaia lui prit la main et l'entraîna vers l'intérieur de la propriété. Mais elle ne se diregea pas vers la bâtisse. Elle prit un sentier sur la droite entre les arbres.Elles marchèrent un moment dans cette partie boisée, en silence.

 

- Gaia, vous êtes sûre que j'ai le droit d'être ici?

 

La jeune femme rigola et répondit:

 

- N'ayez pas peur, je sais ce que je fais et nous y sommes presque.

 

Une fois hors du bois, une petite prairie remplie de fleurs sauvages se présentait, suivie d'un joli verger. Suzanne était époustouflée. Le manoir était en arrière sur leur gauche, mais cette partie de la propiété était bien tranquille.

 

- Depuis petite que j'aime venir ici. C'est aux meilleurs amis de mes parents. Et je suis très proche de l'un de leurs fils, Maurice, qui doit me rejoindre ici dans deux heures. Mais je voulais profiter de ce soleil pour m'apaiser l'esprit. Sincèrement, j'ignore pourquoi j'ai demandé à une parfaite inconnue de me suivre, mais je suis heureuse dans votre compagnie Suzanne. On peut se tutoyer d'ailleurs?

 

- Oui, bien sûr. Merci de m'avoir ammenée dans un tel endroit. C'est magnifique, mais je t'avoue que je ne suis pas très à l'aise.

 

Gaia exerça une pression dans la main de Suzanne, qu'elle tenait toujours, puis elle la lâcha, prit un drap dans son sac et l'étala au sol. Ensuite elle prit le sac des mains de sa nouvelle amie, le déposa par terre à côté du drap étendu et l'invita à s'allonger avec elle.

 

- Viens, tu seras vite mieux. Personne ne viendra nous déranger ici.

 

Suzanne retira son gilet et s'installa à côté de Gaia, sur le dos, en train de regarder le ciel bleu.Gaia lui prit la main de nouveau avant de faire petites caresses douces le long de son bras. Suzanne regarda cette femme qui avait mystérieusement fait irruption dans sa vie. Elle avait un beau visage, un cou délicat, et ses seins bien ronds ressortaient légèrement du décolleté car elle était couchée. Ils avaient l'air si doux et fermes.

 

- Mes seins semblent te fasciner... Tu voudrais mieux les voir?

 

C'était la question à ne pas poser. Bien qu'un peu gênée d'avoir été prise en flagrant délit en train de matter, Suzanne n'avait pas l'intention de s'excuser. Au lieu de ça, elle demanda promptement:

 

- Tu me les montres un peu mieux?

 

Gaia sembla suprise par la réaction, mais sourit en se redressant.

 

- Pour te montrer mes seins, le mieux c'est d'enlever ma robe directement. Tu m'aides à détacher la fermeture?

 

Elle s'assit en tournant le dos à Suzanne et fit glisser ses cheveux sur le devant de l'une de ses épaules. Suzanne se mit à genoux et fit glisser lentement la fermeture de la robe, découvrant peu à peu la peau de la jeune femme. Puis elle lui dit à l'oreille:

 

- C'était une bonne façon de me faire sentir plus confortable. Mais je suis peut être un peu trop confortable maintenant. Si ce que je fais te déplait dis-le moi et j'arrêterais, mais la vérité c'est que j'ai terriblement envie de toi depuis que je t'ai apperçue à la pâtisserie, encore avant que tu arrives près de moi dans le train.

 

Avant que Gaia puisse répondre, Suzanne avait fait glisser les manches de la robe le long de ses bras et détachait déjà son soutien gorge.Gaia ne voulut plus parler et se débarassa des manches et du soutien puis se retourna, saisissant le visage de Suzanne d'une main et l'embrassa vigoureusement tout en la forçant à s'allonger. La grande blonde se laissa faire, totalement séduite et commença à caresser les seins nus de Gaia.

 

Elle sentit une énorme vague d'excitation l'envahir en touchant les seins fermes et légèrement lourds de Gaia pendant que cette dernière déposait des baisers sur son cou. Elle fut prise d'un frisson quand la main froide de sa compagne se glissa sous son t-shirt et alla pincer un de ses tétons.

 

- C'est bien que tu ne portes pas de soutien, mais redresse-toi un peu que je puisse te retirer ce haut et les apprécier un peu mieux.

 

Suzanne s'exécuta de suite et vit son t-shirt tomber plus loin sur l'herbe pendant que Gaia suçait déjà fougeusement son téton droit en caressant l'autre. Elle la laissa faire, profitant de la sensation un moment. Puis elle se redressa, retira ses ballerines et déboutonna son jean. Gaia se leva aussi et la robe glissa aussitôt tout en bas de ses jambes. Avec un sourire, cette dernière enjamba la robe et vint enlever le pantalon de Suzanne.

 

En ayant chacune que leurs culottes, elles se couchèrent de nouveau, sur le côté en se faisant face et se caressèrent mutuellement. Ensuite Suzanne fit basculer Gaia de sorte à ce qu'elle soit sur le dos et fit passer ses doigts sur son ventre, en descendant vers son pubis. Elle posa toute sa main à plat par dessus la culotte blanche et fit des petis mouvements du haut vers le bas et du bas vers le haut. Puis elle tapota l'intérieur des cuisses de son amie, pour lui signaler d'écarter ses jambes, fit glisser la culotte sur le côté et glissa son index et son majeur directement dans le vagin trempé de la femme.

 

Elle fit des vas-et-vient tout en suçotant un des tétons de son amie qui començait à haleter. Sans cesser le mouvement de ses doigts, elle retourna sa main puis le reste de son corps et déposa des baisers sous les seins de Gaia, et descendit avec ses lèvres posées sur contre la peau de la belle brune jusqu'à trouver son clitoris qui ressortait sous la culotte. Elle y passa des coups de langue sensuels en continuant de la doigter.

 

Pedant ce temps, Gaia lui mit une claque au milieu des fesses et retira sa culotte. Une fois ses sous-vêtements ailleurs, elle fit passer sa jambe gauche de l'autre côté du corps de la jeune allongée sur le dos et lui retira sa culotte blanche à son tour. Très vite elle s'entendit lâcher un gémissement car la langue de Gaia de se faufilait habilement entre ses petites lèvres et jusqu'à son clitoris. Elle s'empressa de retourner la faveur en léchant la femme qui l'avait invitée.

 

C'était un 69 intense où s'alternaient coups de langue, succions et gémissements de l'une et de l'autre. Les deux femmes vibraient de plaisir au milieu des fleurs sauvages. Suzanne saisit l'occasion pour doigter Gaia de nouveau, assez rapidement, en suçant son clitoris un peu plus fort. Gaia arrêter de la lècher aussi et se laissa aller à la jouissance violente qui parcourait son corps.La grande blonde, remarquant que les cris de plaisir de son amie brune s'estompaient laissant place à une respiration difficile, retira ses doigts et fit des petites léchouilles plus lentes et douces pour la laisser en profiter jusqu'au bout et reprendre ses esprits.

 

Gaia ayant fini de jouir complétément, elle déplaça la jambe élancée de Suzanne qui se cambra posant ses seins directement contre le drap et laissant ses fesses bien rebondies face à Gaia. Gaia écarta les deux fesses de Suzanne et profita de la vue un instant avant de faire glisser sa langue dans le vagin bien rose qui s'offrait à elle. Elle la pénétra avec sa langue bien droite à plusieurs reprises, puis se redressa et continua le travail avec ses doigts, en accélérant la cadence petit à petit. De temps en temps, de sa main libre, elle mettait des fessées sur ces fesses bien rondes qui appelaient à être touchées.

 

Suzanne s'abandonna complétement au plaisir et ne réprima pas ses cris, ce qui poussa Gaia à aller plus vite et en un rien de temps, elle sentit qu'elle allait jouir très fort, elle ne conrôlait plus son corps qui avait de légers spasmes et elle sentait le plaisir et la chaleur partout. Elle lâcha un dernier gémissement, plus fort et s'éffondra, sans force.

 

Gaia attrapa la serviette de plage qui ressortait du sac de Suzanne et s'allongea contre elle en recouvrant leurs deux corps. Elles restèrent un moment en silence, collées l'une contre l'autre et finirent par s'endormir.

 

- Gaia, t'es où?

 

Gaia et Suzanne se réveillerent toutes deux en sursaut en entendant la voix masculine.

 

Cachée sous sa serviette, Suzanne regarda dans la direction d'où venait la voix et deux minutes plus tard, un homme surgit, sans doute Maurice, le propriétaire des lieux, il les regardait bouche-bée.

To be continued...

 

 

 

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