Partager l'article ! Folies d'Amsterdam: Je m'appelle Bastien et j'habite à Amsterdam depuis plus de huit mois maintenant. Je suis venu ici en Erasm ...
Je m'appelle Bastien et j'habite à Amsterdam depuis plus de huit mois maintenant. Je suis venu ici en Erasmus pour connaître la vie de la ville de toutes les éxubérances et en espérant faire plein de folies. Mais en fin de comptes, je suis toujours le mec naze que j'étais avant.
Je ne suis pas un beau gosse, je suis grand mais maigre ce qui me donne une allure de marionnette étrange, je suis super timide et je suis facilement mal à l'aise dans les soirées et dans tous les événements que la plupart des étudiants adorent.
Résultat, en huit mois j'ai visité tous les musées de la ville, je me suis baladé dans les petites rues charmantes, j'ai loué un vélo, j'ai fait un tour en bâteau dans les canaux, j'ai testé plus de variétés de gouda que ce que je pensais être possible et j'ai acheté des trucs en tout genre au Albertcuyp Market. J'avoue, j'ai arpenté le quartier rouge à plusieurs reprises mais en me contentant de jeter des coups d'oeil discrets aux vitrines sans oser aller plus loin.
Mais je n'ai pas vraiment fait de rencontres ou vécu les aventures dont je rêvais. Maintenant mon année Erasmus touche déjà à sa fin et quand je rentrerais en France je continuerais d'être minable.
Aujourd'hui je suis censé aller dans un bar avec Jan et Hubrecht, mes deux colocs mais je n'ai aucune envie d'y aller. Ils m'ont dit que ce serait un truc tranquille avec une bande d'amis sympas donc je vais peut être y aller pour boire un verre et je rentrerais tôt. Je vais enfiler mon t-shirt noir et ma veste en cuir et aller les retrouver avant qu'ils s'impatientent.
- Tu devrais mettre quelque chose de plus chaud, me dit Jan en anglais en me dévisageant, prends un pull par dessus ton t-shirt.
- Laisse-le avoir froid, ajoute Hubrecht, peut-être que comme ça une fille aura pitié de lui et voudra le réchauffer !
Je ris jaune, mais essaye de ne pas trop me prendre la tête. C'est vrai que ma situation est pitoyable.
On vient d'arriver dans le bar. Plutôt sympa. Une fille canon est en train de gesticuler en regardant dans notre direction. Je ne la connais pas et je sais pas trop quoi faire donc je donne un coup de coude à Jan et lui dis qu'elle nous fait signe.
- Ah oui, c'est Micaela, cool ils nous ont pris une grande table. Allons-y.
Je suis plutôt gêné en arrivant à la table et voyant sept personnes que je ne connais pas du tout. Micaela se lève et roule une pelle à Hubrecht. Je ne m'y attendais pas du tout. Et visiblement personne ne s'y attendait, pas même le principal intéressé.
- Ce n'est pas que ça me dérange, dit Hubrecht, mais il y a une raison à ça?
- Oui, le fait que tu me plais depuis un moment et que c'est bête de ne pas en profiter.
Tout le monde se présente à moi et je finis par me trouver assis à côté d'un certain Nando, Erasmus venu du Brésil comme Micaela, et d'une jolie fille blonde dont je n'ai pas compris le prénom, mais qui semble d'humeur à discuter.
-On m'a dit que tu étais français. J'aime beaucoup le français, mais je ne parle pas encore très bien.
- Si ça va, ce n'est pas mal du tout!
***
Je ne sais même pas comment je me suis retrouvé ici, mais je suis en pleine piste de danse avec Siska qui se trémousse contre moi. Je bande et je ne veux pas qu'elle le remarque. Ça pourrait tout gâcher alors qu'on a beaucoup discuté ensemble et que j'ai l'impression qu'elle aime assez bien ma compagnie. Enfin je dois me faire des films. N'empêche qu'elle approche son cul de plus en plus.
D'un coup elle est vraiment collée à moi et je la sens s'arrêter de danser. Voilà c'est foutu, elle a remarqué que je bandais. Je sens mes joues rougir et j'ai envie de partir de courant avant qu'elle me foute une gifle. Elle se retourne et regarde justement vers mon entrejambes. C'est tellement embarrassant.
J'ignore ce qui lui prend, mais elle se colle à moi et m'enlace. Elle pose sa joue contre la mienne et me murmure à l'oreille :
- Tu bandes dur à ce que je vois. Et si on allait s'occuper de ça dans un endroit plus tranquille ? J'habite tout près.
Je suis sûrement en train de rêver, je n'ai jamais eu de si jolie fille intéressée par moi. Tout se bouscule dans ma tête. Elle vient vraiment de me proposer d'aller chez elle?
- Tu penses me donner une réponse où tu as besoin d'un peu de motivation ?
Sa main arrive d'un coup entre mes jambes. Je ne m'y attendais pas. Mais je lui dis qu'on à qu'y aller, même si je ne suis pas sûr de ce que je fais. Elle me prend la main, m'emmène vers la table où on était pour attraper sa veste et me traine vers l'extérieur du bar. J'aperçois rapidement Jan qui fait de drôles de têtes en me regardant. Il essaie sans doute de me faire comprendre que c'est bien que je gère une meuf enfin, mais il a juste l'air con.
Wouah je me prends le vent à la figure comme si c'était des lames de rasoir, elle a l'air d'avoir froid aussi donc je lui propose ma veste. Elle refuse et se met à courir et j'avoue que c'est tant mieux. Je ne veux pas congeler en t-shirt.
On à peine couru sur 300 mètres quand elle me s'arrête et me dit que nous sommes arrivés. Je la suis au 2ème étage puis à l'intérieur d'un petit studio au design moderne et industriel. Je ferme la porte derrière moi, sans croire à ce qu'il m'arrive. Elle doit être vraiment bourrée pour vouloir coucher avec moi. Je ne devrais pas en profiter.
- Oh oh, on dirait que c'est tout plat dans ton pantalon ! Le froid ne t'a pas fait du bien. Laisse-moi m'en occuper.
Elle commence à détacher ma ceinture. Je dois l'arrêter.
- Écoute, tu es sublime et j'ai trop envie de toi, mais je ne veux pas que tu regrettes ça quand tu seras sobre.
- Je ne bois pas, je ne fume pas, je ne me drogue pas. Mon vice à moi c'est le sexe. J'aime ça. Tu semblais vouloir la même chose, donc je t'ai ramené chez moi. Mais si tu veux pas le faire, vas t'en au lieu de me traiter de bourrée.
Je l'enlace. Ses cheveux sentent vraiment bon.
- Désolé, j'ai pas l'habitude de ce genre de choses. Mais j'ai de plus en plus envie de toi.
Elle commence à me rouler une pelle puis elle me fait asseoir sur une chaise.
- Si ça fait longtemps que t'as pas baisé, autant faire les choses bien! Je vais rendre cette soirée inoubliable !
Elle met de la musique sur son portable et commence à danser devant moi de manière sensuelle. Elle est tellement sexy! En ondulant elle retire doucement sa veste, puis sa robe noire moulante. Elle est vraiment sexy. En continuant de danser sensuellement, elle détache et enlève son soutien gorge, laissant apparaître ses petits seins aux tétons bien roses. Elle s'approche alors de moi, j'ai envie de toucher ses seins mais je suis encore un peu gêné. Siska quant à elle semble parfaitement à l'aise et me retire ma veste, puis mon t-shirt avant de s'asseoir sur moi en me faisant face.
J'arrête de me prendre la tête et je caresse ses seins. Ils sont petits mais avec une peau si douce et des tétons si durs, que je les caresse et les masse pendant un moment pendant qu'elle continue de bouger ton son corps en ondulant sur moi. Je commence à embrasser son cou et j'ai l'impression que ça lui fait plaisir. Mais j'ai envie de lui faire plus plaisir que ça et ma queue commence à manquer de place dans mon jean. Je continue .d'embrasser doucement son cou en me dirigeant vers son oreille que je mordille un peu avant lui dire "j'ai trop envie de toi, j'en peux plus".
Elle se redresse d'un coup, me fait dos, se penche légèrement en avant et fait glisser sa culotte vers le bas très lentement en me jetant des regards malicieux. J'essaie de résister, de profiter du spectacle mais c'est trop dur. Je me laisse glisser de ma chaise et finis à genoux par terre derrière elle. Je baisse sa culotte d'un coup, pose mes mains sur ses fesses et les écarte un peu. Je ne me reconnais pas dans mes actes mais je ne me contrôle plus. Je vois son vagin un peu ouvert, bien rose et qui semble humide. Je suis de plus en plus excité. J'ai envie de la prendre de suite, mais ce genre d'événements est si rare dans ma vie que ce serait bête d'aller trop vite.
Je lui demande de se pencher un plus en avant, ce qu'elle fait, et je commence à lécher son vagin avec avidité. La seule autre fois où j'avais fait un cunni, c'était il y a trois ans, avec ma copine mais j'étais maladroit et sans savoir quoi faire. Alors que lá maintenant c'est comme si ma langue savait exactement quoi faire. Les gémissements de Siska semblent vouloir dire que je n'ai qu'à continuer, ce que je fais. Je glisse ma langue à l'intérieur et fais des va et vient avec, puis je la fais aller vers son clitoris bien gonflé. Elle gémit de plus en plus. J'adore l'entendre gémir.
Siska se redresse, vient m'embrasser et me dit de la suivre. Je vais avec elle vers l'espace chambre, on est tous les deux debout près du lit et elle détache ma ceinture et mon jean qu'elle baisse rapidement. Je l'enlève complètement et la gêne revient. Ça fait trop longtemps que je ne me suis pas retrouvé en caleçon devant une fille. C'est un peu bizarre pour moi. Mais elle ne s'en rend pas compte et commence à caresser mon pénis tout dur par dessus le caleçon.
- Ta queue à l'air énorme en fait! Laisse-moi voir ça de plus près.
Je rougis, mais elle ne le remarque pas car elle est à genoux et a les yeux rivés sur mon entrejambe. Elle baisse le caleçon et semble surprise, agréablement surprise. Ma queue n'est pas énorme, mais oui elle est grande quand même. Siska la regarde un moment, trop long pour moi. Mais elle fini par passer sa langue le long de ma verge en me regardant. Elle prend ensuite mon gland dans sa bouche et le suçote gentiment. Petit à petit elle prend ma queue un peu plus dans sa bouche tout en jouant avec sa main serrée autour de la base de mon pénis. C'est alors qu'elle commence à me sucer avec vigueur. La sensation en est exquise ! Elle me suce bien fort en me regardant de temps en temps. Je sens que je vais jouir mais il est encore trop tôt pour ça donc je la pousse un peu en arrière.
Je n'ai pas besoin de dire quoi que ce soit, elle s'allonge de suite sur le lit et écarte ses jambes. Je me mets sur le lit aussi, prends appui sur ses jambes un peu relevées et la pénètre doucement. Sentir sa petite chatte bien mouillée autour de mon pénis est encore mieux que ce à quoi je m'attendais. J'entre plus profondément en elle et je commence à faire des va et vients lents mais amples. Siska fait déjà des petits bruits et moi même je ne m'empêche pas d'en faire aussi. Je commence à accélérer le mouvement. C'est vraiment bien chaud et mouillé dans son vagin, j'aime ça. Je veux la prendre de manière un peu plus violente mais elle me dit:
- Attends, laisse-moi me tourner.
Je retire et pendant que je recule un peu, elle se met à quatre pattes, jambes bien écartées et avec de dos cambré. Je lui mets une petite claque sur les fesses et me rapproche de sorte à coller mon membre viril contre son vagin. Elle écarte un peu ses fesses avec sa main, j'ai une vue plongeante sur son petit cul serré ce qui m'excite bien et je pénétré sa chatte trempée de nouveau. J'y vais plus fort cette fois et elle gémit à chaque coup de reins. Ma respiration s'emballe, et je continue mes mouvements en pénétrant Siska avec violence. Je ne connais plus la timidité, seul le plaisir me contrôle. Ma queue continue d'aller et venir en elle pendant qu'elle crie de plaisir et lá, je sais que n'ai pas la force de résister, je sens la jouissance monter, je me retire et j'éjacule sur une de ses fesses. Puis je me laisse tomber sur le lit à côté d'elle, épuisé, mais satisfait comme jamais.